Cécilia de Caniac, un chemin vers la lumière

Cécilia de Caniac est médium, énergéticienne, guide spirituelle et auteur. Elle nous parle de son parcours et de la manière dont elle aide ceux qui font appel à elle.

Comment avez-vous découvert votre capacité à percevoir, voir et entendre l’invisible ?

Cécilia : Cela s’est fait naturellement. Ma grand-mère, chez qui j’allais en vacances, recevait des personnes, préparait des concoctions ; cela embaumait dans la cuisine. 

Plus tard, j’ai compris que ma grand-mère faisait aussi des rituels de magie blanche. Cela me fascinait ; j’observais depuis la trappe de ma chambre, même si cela était interdit.

Je voyais des halos blancs et j’ai compris plus tard que c’étaient les âmes ; je devais avoir 5 ans.

Dans les traces de ma grand-mère

Un jour, ma grand-mère m’a surprise et, au lieu de me gronder, elle m’a demandé ce que je voyais.

Je lui ai dit et elle m’a expliqué que j’avais le don, comme sa mère, la mienne, mes tantes. J’étais la petite dernière. Je l’ai accueilli avec joie. 

Très tôt, elle m’a dit quoi faire : chasser les mauvaises âmes en perdition, entendre leurs demandes, pour ne pas me faire peur. 

Elle m’a dit aussi de ne pas trop en parler à l’école, parce que je serais incomprise ou moquée. Je voyais en effet des « trucs » sur mes copines, surtout quand elles mentaient.

Je voyais comme leur aura qui devenait plus sombre (là encore je n’avais pas le bon vocabulaire).

Une période d’incertitude

À l’adolescence, je me cherchais un peu et, pour épater les copines et plaire aux garçons, je tirais les cartes, pour le fun, mais j’ai compris que tous n’étaient pas ouverts au monde de l’invisible. 

J’ai donc arrêté jusqu’à 25 ans.

Une rencontre décisive

Alors que j’étais en vacances au Brésil, une femme m’a abordé et m’a dit (on m’a traduit) : « je vais te faire le tirage des coquillages ». Elle m’a dit que j’étais médium et que ma mission était d’aider les autres. 

Cela m’a perturbée, car j’avais laissé cela de côté. Je suis alors partie apprendre en Asie, dans des ashrams et des temples en Inde. J’ai rencontré des enseignants formidables : ils m’ont mise en confiance.

Le soutien de ma mère

Ma mère a arrêté de voir le jour où elle a vu la mort de son meilleur ami et m’a mise en garde :  » N’ouvre pas tout, demande ce que tu peux recevoir ou non ».

Je l’ai écoutée et je ne reçois pas ce genre d’informations.  Elle a aussi été d’un grand soutien dans ma découverte spirituelle et celle de notre don matriarcal.

J’ai compris que c’était ma mission

Faire de mon don ma mission était en effet devenu évident, comme l’avait prédit cette femme au Brésil. 

Je délivre à ceux qui me consultent des messages qui viennent des défunts, des guides, de l’invisible, de l’univers. Chacun a une dénomination propre pour cela. Je les aide, ainsi, à comprendre des blocages dont ils n’avaient pas idée, à prendre conscience de l’impact de leurs vies antérieures, de leur généalogie, de leur enfance, de leur vie in utero…

Je leur montre aussi le chemin de lumière qu’ils peuvent suivre s’ils le décident. 

Lumière et confiance

Mes consultations les éclairent et leur redonnent confiance en eux. Ils se sentent plus soulagés et sur le chemin de la guérison si telle était leur demande. Ils continuent leur chemin apaisés.

Pour aller plus loin, voici le site de Cécilia de Caniac

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